Rapture : A New Beginning
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Rapture : A New Beginning

Perdus dans une ville sous-marine désormais au bord de la décrépitude, des hommes et des femmes se déchirent et s'allient dans un seul but : survivre. Survivre en reconstruisant la ville... ou en l'envoyant par le fond.
 
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  Vincent

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AuteurMessage
velvet

velvet


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Localisation : Au fond de l'abîme

Feuille de personnage
Nom: Vincent
Armes : Barre à mine, plasmide télékinésie
Humeur: Perdu et transi

  Vincent   Empty
MessageSujet: Vincent      Vincent   I_icon_minitimeSam 8 Jan - 13:09

( je redirige la présentation faite il y a plusieurs jours sur un autre forum RP de Bioshock, qui semble complètement laissé à l'abandon !)

Prénom : Vincent

Surnom : " Jaurès "

Age : 19 ans

Sexe : Masculin

Origine : Français

Famille)

Sa mère, Éléonore Antoise, vit à Paris, ou elle est femme au foyer. Née le 16 juin 1914, elle est issue d'une famille de la petite bourgeoisie aux revenus modestes, mais qui su, grâce notamment au travail d'un père qui donna tout pour les siens et au courage et à la solidité d'une mère inébranlable, augmenter significativement son niveau de vie, jusqu'à pouvoir acquérir, après avoir vécu à la campagne, un appartement cossu au sein du Marais Parisien en 1925. Elle mène une enfance sans heurts, mais aussi sans coups d'éclats, suit l'enseignement primaire mais quitte le système scolaire à 15 ans pour se consacrer aux "travaux d'aiguille" que lui dispense sa mère. Mariée à 19 ans à Claude Maugas, Elle a 38 ans en 1952. C'est une femme douce et gentille, encore belle, avec un port altier et de longs cheveux bruns, mais peu cultivée et extrêmement touchée par les stéréotypes d'une société européenne aux mœurs encore rigides. Bonne cuisinière et couturière, elle assure toutes les tâches ménagères avec un enthousiasme sincère. Elle possède cependant une compétence qui la distingue de nombreuses femmes bourgeoises : une pratique de l'anglais qui, bien qu'accompagnée d'un accent prononcé, est excellente. Sa mère ayant passé de nombreuses années en Irlande, elle transmis également à sa fille cette maitrise de l'anglais qui la caractérisait.

Son père, Claude Maugas, est architecte : Né le 13 mars 1910, il est quand à lui issu d'un milieu plus modeste. Il ne connut jamais sa mère, morte en couches, mais son père, Charles Maugas, fut un personnage peu commun : artisan parisien d'un talent exceptionnel (il crée des objets à l'aide d'un nombre extrêmement divers de matériaux, toujours avec une finesse et un souci du détail rarement égalés), mais possédant un caractère si hostile et misanthrope qu'il lui est impossible de conserver longtemps sa clientèle.
Il vit donc, avec son fils, de subsides de l'état et des quelques ventes de son "vieux bazar", dans une masure des quartiers pauvre parisiens, qu'il répare et agrandit lui-même. Claude entretient avec lui une relation très houleuse : élève concentré et appliqué lorsque son père lui enseigne ses savoirs-faire, il est, en parallèle, dissipé à l'école, souvent l'auteur de bagarres. Ses résultats catastrophiques et ses comportements lui valent d'être souvent battu par son père (Charles ayant de graves problèmes d'alcool), ce qui entretient un mélange d'admiration et de peur chez le jeune Claude.
Cependant, son père, en 1924, décède brutalement à l'âge de 39 ans, poignardé lors d'une beuverie. Claude Maugas ne se remit jamais totalement de la mort de ce père qu'il respectait tant, mais prit la courageuse décision, à 14 ans, de tenter de continuer à faire tourner le "vieux bazar" de son père. Et, aussi étrange que cela puisse sembler à posteriori, il y réussit brillamment : attirés par la réputation du jeune garçon, les clients affluèrent, plus souvent pour voir de leurs yeux la rumeur propagée par leurs connaissances au sujet d'un "garçon prodige" que pour acheter ses marchandises (ce qu'ils firent néanmoins souvent une fois sur les lieux). Jusqu'à ses 20 ans, il acquiert ainsi un solide réseau de clientèle, et un capital bien supérieur à celui de son père, dont il préserve l'héritage. Puis, fort des connaissances brutes héritées de son père, il décide de passer une licence d'architecture, qu'il réussit avec brio à 23 ans.
C'est à cet âge, en 1933, qu'il rencontre les parents d'Éléonore : devant la réputation du jeune homme et sa fortune, il lui propose immédiatement d'épouser leur fille, ce qu'il accepte dès sa première rencontre avec la jeune femme.
L'empreinte de son père devient plus marquée lorsque nait, dès l'année suivant leur mariage, Vincent. Il prend directement en main l'éducation du jeune homme, souhaitant le voir devenir, à son image, un homme fort, possédant une grande expertise technique née de son éducation, et voué à un métier lié à ce qu'il pratique lui-même. Mais l'évolution de l'enfant va complètement lui échapper, et à l'aube des 18 ans de son fils, il en a une image teintée à la fois de la fierté de le voir réussir là ou il a échoué, et la déception de savoir qu'il ne suivra jamais ses traces.

Son métier d'architecte le forçant à de nombreux déplacements, il ne peut plus gérer le "vieux bazar", qu'il laisse au parrain du jeune Vincent, Pierre Lavois, un homme au robuste bon sens et à la bonne humeur contagieuse, mais piètre artisan en comparaison du génie de Charles et Claude. Cependant, il y passe encore régulièrement, lors de journées définies à l'avance avec ses meilleurs clients, entretenant avec eux une relation cordiale et confiante tout en conservant un réseau de relations sociales étendu. Malgré son mode de vie clairement embourgeoisé, fait de soirées mondaines et d'obligations sociales, il n'est pas rare de l'apercevoir, habillé d'un tablier de cuir noir et crasseux, rejoindre l'atelier du "vieux bazar", et confectionner, avec la même application que son père, des merveilles d'artisanat.

Métier :

Détenteur d'une bourse, Vincent entre à l'université de Rennes en 1952, ou il entame des études d'histoire. Le choix de s'établir à Rennes est motivé par la volonté de s'éloigner de son père, trop autoritaire, qu'il aime sincèrement mais ne parvient pas à suivre en matière d'idéologie.
Quoi qu'il en soit, il obtient de brillant résultats dès le premier semestre. C'est la raison pour laquelle son père, extrêmement fier de ses résultats, lui donnera à l'occasion de ses 18 ans une somme d'argent considérable pour lui permettre de réaliser, durant les vacances à venir de 1953, son rêve d'enfant : un voyage d'un mois au Canada, dont il pourra enfin explorer les grands lacs et les magnifiques forêts loin du paysage industriel et étriqué d'une Europe vieillissante.

2. Informations sur l'aspect physique.

Physique :

Vincent est un jeune homme qui a toujours été de constitution très fine : cependant, il s'est depuis plusieurs années endurci par un usage intensif de l'escrime, et possède désormais un corps maigre et musclé. Son visage aux traits fins, de forme quasiment ovale, est tout en longueur, avec un front haut, une mâchoire prononcée vers le bas : une figure au final très proche de l'image que l'on se fait habituellement d'un intellectuel. Ses cheveux d'une noirceur peu commune sont mi-longs, lui arrivant à peu près aux épaules. Ses yeux sont singuliers, car différents : l'un est d'un marron prononcé, l'autre beaucoup plus clair avec des nuances de vert.
Il ne possède pas une force physique extraordinaire, mais compense par les réflexes impressionnants que lui apporte l'escrime.

Style vestimentaire :

S'habillant le plus souvent dans un style très sobre, il prête une attention particulière à la qualité et la fabrication des vêtements qu'il achète, mais se moque de la mode et ses tendances. On le verra souvent dans une chemise ample et confortable, couverte d'un épais pull ou manteau par temps froids, avec un pantalon simple mais usuel (tels qu'un bon jean ou fait d'une toile confortable), le tout couronné par de solides chaussures en cuir.

Signes particuliers :

Il est atteint de troubles de la vue périodiques : il lui arrive parfois de voir un peu flou pendant une ou deux heure, surtout lorsqu'il est fatigué. Il à souvent une paire de lunettes spéciales sur lui pour corriger ce problème lorsqu'il apparait.

3. Informations sur la psychologie du personnage.

Caractère /Psychologie:

Vincent est un jeune homme calme, extrêmement méthodique et cartésien. Il est brillant dans tout ce qui touche le domaine scolaire, extrêmement érudit et grand lecteur. Mais n'aimant pas l' "excès", il apprécie tout autant de se retrouver autour d'un verre avec des gens qu'il juge plus "simple" (non d'esprit, mais de mœurs) que lui, afin de cultiver le goût de la différence et de savoir apprécier les choses réelles. Cependant, malgré sa grande sociabilité, certaines personnes qui le côtoyaient l'ont un jour accusés de n'avoir, au fond, pas de cœur : cela s'explique par le fait qu'il n'a jamais parlé de ce qu'il ressentait à qui que ce soit, et qu'il ne s'est jamais réellement embarqué dans une histoire amoureuse et morale : il a bien entendu goûté aux plaisirs de la chair, mais il le dira lui-même : " ce n'était qu'une simple curiosité : j'en tire la leçon d'expériences plutôt plaisantes que je reproduirais volontiers, mais dans lesquelles je ne me vois pas m'engager durablement car je n'y vois aucun intérêt. Peut-être plus tard, quand j'en aurais terminé avec des choses plus importantes. " Il est donc extrêmement ouvert à tout libertinage, même si cela ne constitue pas son centre d'intérêt prioritaire.


Ce qu'il / elle aime (en particulier) :

L'honnêteté, l'intelligence, la liberté, les livres, l'escrime, les valeurs de la république démocratique.

Ce qu'il / elle n'aime pas (en particulier) :

l'ignorance, l'obscurantisme, la religion, les systèmes politiques de son temps (communisme, capitalisme...)

4. Informations sur la vie du personnage.

Biographie : Vincent naît un an après le mariage d'Éléonore Antoise et Claude Maugas, le 9 juillet 1933. Vivant une enfance privilégiée dans un confortable appartement parisien jusqu'à ses cinq ans, il fut emmené par ses parents en Amérique, effrayé par le danger du nazisme, dès début 1939. Sa famille bénéficiait dans cette situation de deux avantages : une richesse incontestable qui allait leur permettre de vivre confortablement aux Etats-unis, et un avantage linguistique grâce à Eléonore, qui impressionne les américains par son aisance à pratiquer la langue anglaise. Vincent, lors de ces 6 longues années d'exil, vivra décemment, mais sera soumis aux sermons haineux d'un père qui déteste le capitalisme et ses excès, ce qui aura pour conséquence de lui donner une profonde aversion à propos de la société américaine, à contre-courant, semble t-il, de son temps et des opinions...
Rentré en France fin 1945, ces années sont celles de l'âge d'or de son père : sollicité partout grâce à sa réputation et ses réseaux sociaux, il est de tous les travaux de reconstruction, impressionnant de nombreux ouvriers par sa compétence du terrain et ses connaissances pratiques. Il trouve néanmoins du temps pour s'occuper de son fils, et l'emmène très souvent au "vieux bazar", ou, comme son père avant lui, il tente tant bien que mal d'enseigner à son fils l'art que son père lui a transmis. Cet effort va se heurter à deux difficultés :
- Vincent est, la plupart du temps, heureux d'accompagner son père dans son vieil atelier (il lui dira souvent "qu'il aime l'odeur du bois et les belles choses sur les étagères"), mais ne possède pas ce génie qui caractérise les deux hommes. Il apprendra attentivement, et sera capable de fabriquer des objets fonctionnels tout à fait corrects, mais il lui manque véritablement cet aspect de finition et de création pour arriver au niveau des œuvres de son père.
- Même s'il apprécie les choses pratiques, son attention est avant tout tournée sur le travail de l'esprit : dévoreur de livres dès son jeune âge, il s'essaye à l'écriture, et il est vigoureusement incité à poursuivre dans cette voie par nombre de ses professeurs ; à l'école, au collège puis au lycée, il est toujours, quel que soit le niveau de son établissement, parmi les meilleurs élèves.
De la naît toute l'ambiguïté des rapports de Vincent avec son père : un amour mutuel sincère, mais un mélange de fierté et de déception que ne peut pas, malgré toute sa détermination, ne pas ressentir Claude.
Son excellence, mêlée à une flagrante simplicité de caractère, lui vaudra le surnom affectueux de " Jaurès " par nombre de ses amis.

(Note d'information : sur le premier topic que j'avais écrit, et que je compte rediriger ici, Vincent perds connaissance et, en se réveillant, se trouve incapable de se rappeler quoi que ce soit : je verrais donc ensuite, selon le fil de l'histoire et mes envies, si je réveille en mon personnage certains éléments de cette biographie fictive :-))


Dernière édition par velvet le Ven 9 Déc - 12:11, édité 3 fois
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Neil Dycon
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MessageSujet: Re: Vincent      Vincent   I_icon_minitimeJeu 20 Jan - 0:30

Je te valide , j'espère que tu est toujours là pour continuer le roleplay Smile

(Tu aurais pu attendre que je te valide pour poster Razz )
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Vincent
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