Les artistes les plus grands et les plus prometteurs des années quarante sont réunis à Rapture, il est donc normal que l’art occupe une place importante dans la vie de chacun. La cité elle-même est dominée par le style art-déco, que ce soit dans l'architecture ou le mobilier, et laisse admirer de nombreuses statues.
Les musées, galeries d’art, théâtres et autres spectacles fleurissaient un peu partout en ville et étaient facilement accessibles, puisque les prix étaient bradés afin de faire face à la concurrence. La Forteresse Folâtre était à elle seule le centre névralgique de l’art Rapturien et agissait comme un soleil, autour duquel gravitaient une multitude d’artistes à la célébrité plus ou moins éphémère...
Le style de musique dominant se trouve être le jazz, mais la plupart des genres musicaux sont représentés en ville. Veuillez cependant noter ceci : il s’agit des genres en vogue lors des années quarante-cinquante. Jamais un haut-parleur de Rapture ne crachera un riff rock’n roll de guitare électrique... et cela vaut autant pour le rock que pour le rap, le R&B, la techno, et pour tout le reste des musiques modernes. Merci d’éviter les anachronismes, donc.
L'absence de toute règle stimulant la "créativité", il y a à peu près autant d’œuvres de maîtres que de choses innommables dans les expositions Rapturiennes. Sander Cohen, artiste polyvalent, est la preuve vivante de cette ambivalence : à la fois génie artistique et déséquilibré flagrant, il est l'auteur d’œuvres exceptionnelles, telle la Cohen's Masterpiece (voir topic "phonographe de Rapture", section "Good Morning Rapture" de l'Hétéroclit's Capharnaüm ) , mais aussi de monstruosités, comme le poème "Lapin Sauvage", qui se résume à ces quelques mots :
"Je veux arracher les oreilles du lapin sauvage, mais je ne peux pas"
Suivis d'un long sanglot...