Nom : Crowley
Prénom : Kaden
Surnom (s'il y a lieu) : Le Rédempteur(autoproclamé), le Ravageur(surnom que lui donne les chrosomes)
Age : 31 ans
Catégorie d'appartenance du personnage : Survivant
Armes : une bon batte de baseball, une arbalète et les fortifiants suivant: sportiv, sanguinaire(regénère pour les attaques de corps-à-corps), armure corporelle( plus résistant aux balles), maître de mêlée(350% de dégâts au corps-à-corps)
Taux d'Adam dans le sang: hum... 20% ?
Description Physique :Je suis un home de grande taille, et bien que je ne me rappelle plus vraiment de ma taille exacte, je sais que je suis entre 1m80 et 1m90. Mais cela n’a que peu d’importance. Après tout, on ne juge pas l’importance d’une personne par sa taille, mais par le fait qu’il soit un chrosome ou non. J’ai les cheveux bruns et longs en bataille. Ceux qui prennent le temps de se peigner les cheveux ont vraiment du temps à perdre et ne doivent pas tenir à cœur notre cause. Mes yeux sont bruns et emplis d’une haine sans borne pour les monstres que sont les chrosomes. Je ne détourne jamais les yeux de l’un de ces déchets. Ainsi, il peut voir dans mes yeux que sa mort approche, que l’heure de la Rédemption est enfin arrivée. Je suis quelqu’un qui est en forme et qui a une bonne force physique. J’essaie de garder ce corps entraîné, car c’est nécessaire pour pouvoir faire la peau aux monstres qui trainent dans les rues. Quand à mes vêtements, ce ne sont que de simples vêtements de civil. Je n’ai besoin d’aucune protection pour réaliser mon œuvre. Et de plus, si les vrais citoyens de Rapture ne peuvent se procurer de quoi s’habiller convenablement, alors pourquoi être différent d’eux? Mais il y a une chose à laquelle je tiens particulièrement. Mon masque de hockey. Ce masque me protège le visage du sang corrompu des chrosomes. Mais ce n’est pas seulement une protection, non, c’est bien plus. Ce masque représente un symbole de peur et de mort pour les chrosomes, ainsi que le symbole de la cause pour l’humanité. Ce masque, c’est ce qui représente la rage de l’humanité face aux monstres que certains sont devenu. Ce masque, c’est notre vengeance.
Description psychologique : Je suis tout à fait saint d’esprit. Bien sûr, ce point de vue n’est pas partagé du reste des habitants de Rapture. Les gens me disent extrêmement violent et sans aucune pitié. C’est probablement vrai. Mais dans cet endroit, la violence n’est qu’un moyen pour atteindre nos objectifs. J’ai beau frapper un ennemi à-terre jusqu’à ce qu’on ne le reconnaisse plus, j’ai quand même des raisons bien plus valables de le faire que la majorité de la population de cette ville. Certains craignent la mort et tentent d’éviter les combats. Mais dans Rapture, tu vis ou tu meurs. Je l’ai compris, et j’ai choisi de vivre. Mais j’ai également découvert où est le mal dans cette ville de fou. Les chrosomes. Ces monstres en quêtes de plasmides sont l’incarnation de la déchéance de notre ville. Sans eux, nous pourrions retrouver la paix et enfin en finir avec tous ces combats. Mais ces monstres sont encore là! Pourquoi? Pourquoi personne ne comprend que toutes ces choses doivent mourir? Suis-je vraiment le seul à réaliser que les chrosomes sont la source du mal qui nous afflige? Si je suis vraiment le seul à le savoir, alors je suis le seul saint d’esprit ici. Un jour, les survivants de Rapture se relèveront et réaliseront enfin que la seule sensée à faire est de tuer tous ces chrosomes jusqu’au dernier. Mais en attendant ce jour, je suis seul à punir ces créatures et à offrir la rédemption au peu d’humanité qu’il leur reste. Mais s’ils doivent mourir, autant que ce soit le plus brutalement possible. Le son d’un chrosome cirant de douleur et d’agonie est la plus belle chose que je n’ai jamais entendu de toute ma vie.
Histoire :Je suis un Australien né en 1930 à Canberra. Ma jeunesse a été des plus normales. Deux parents qui travaillaient forts pour que leur famille puisse vivre le mieux possible, parfois là, parfois absent à cause du travail. Des parents normaux, en gros. Je n’avais pas vraiment à me plaindre. J’avais une petite sœur que j’appréciais bien. On était assez proche. J’ai vite développé un intérêt pour le baseball, sport auquel j’ai commencé à jouer assez jeune. Mon père m’a beaucoup encouragé à continuer et à persévérer. À mes yeux, on était une famille unie et heureuse. Mais ce n’était pas le cas. À 10 ans, tout dérapa dans ma vie. Mes parents se gueulaient dessus depuis des semaines. Je ne suis pas certain, mais je crois que j’ai même entendu des coups parfois. Ma petite sœur se mettait parfois à pleurer en entendant tout ça. Puis, un matin, ma mère a décidé de partir de partir et d’emmener ma sœur avec elle, disant que papa devenait violent. C’était probablement vrai. En tout cas, ça pourrait bien expliquer d’où vient mon caractère brutal. Quand il a appris que ma mère voulait partir, il entra dans une rage et la tua. Sur le coup, ça fait un choc, mais pourtant, je n’ai pas eu peur de mon père. Je n’ai pas eu peur du tout, d’ailleurs. Ma mère avait été tuée par mon père, c’est tout. Au final, il finit en prison pour ce meurtre. Ma sœur et moi, nous fûmes envoyés dans des orphelinats différents. Je ne l’ai plus jamais revue. J’ai continué le baseball, mais j’ai commencé à développer un léger penchant pour l’utilisation de la force létale. J’étais plus grand que la majorité des autres, alors ils ne répliquaient que rarement à mes coups, de peur que je les frappes encore plus. Je fus renvoyé de plusieurs écoles à cause de violence. Mais encore là, j’ai continué le baseball. Mais à l’âge de 23 ans, alors que j’étais dans des ligues amateurs, je fus renvoyé pour avoir frappé au sang un de mes coéquipiers qui m’avait insulté. Je me mis alors à me battre dans la rue. Mais pas juste dans le plaisir de se battre, non. Je n’affrontais que des gangs de rue. Bien sûr, je fini à l’hôpital plusieurs fois, mais ça valait le coup si ça rendait le monde meilleur. Et qu’est-ce que j’ai eu en retour? Pas grand-chose. Les gens commencèrent à me prendre pour un type dérangé. J’ai faillis finir à l’asile d’ailleurs. Mais où aller? C’est à l’âge de 28 ans que j’eus la réponse. Un homme me parla d’une cité du nom de Rapture, une cité où on était apprécié à la valeur de ses actes. Voyant dans cet endroit mon salut, je m’y rendis. Et ce que je découvris ne me plus pas du tout. Les humains étaient en proie au chaos et à la pauvreté face à des monstres. Je découvris rapidement ce qu’étaient ces créatures, les chrosomes, et j’en fus encore plus répugné. Puis, je réalisai alors mon but dans cette vie. L’unique raison de mon existence était que je sauve les habitants de Rapture de ces monstres dégénérés. Je me mis donc à l’œuvre, prêchant du même coup ma philosophie chez les survivants. Par la mort des chrosomes, nous regagnerons notre gloire!