Rapture : A New Beginning
Perdus dans une ville sous-marine désormais au bord de la décrépitude, des hommes et des femmes se déchirent et s'allient dans un seul but : survivre. Survivre en reconstruisant la ville... ou en l'envoyant par le fond.
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| | | Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) |  |
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Elisabeth Hanson
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 |  Sujet: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine)  Lun 18 Juil - 21:43 | |
| IDENTITY
♦Nom: Hanson
♦Prénom: Elisabeth
♦Surnom: Lily
♦Âge: 16 ans
♦Sexe: Féminin
♦Taille & Poids: 1m64, 36 kg
♦Grade/classe: Grande Sœur errant dans les entrailles de Rapture à la recherche de quelqu’un qu’elle aime.
♦Arme: Seringue rétractable
♦Plasmide: Envolée de corbeaux
♦Taux d’Adam dans le sang: 26%
PHYSICAL
Elisabeth a sûrement changée, mais, de ce que je me souviens, elle avait les yeux verts vifs. On s’y perdait quand elle songeait et quand elle était heureuse ou tout autre sentiment qui s’y approche une flamme magnifique créait un éclat brillant dans ses pupilles. Ses yeux étaient encadrés de longs cheveux noirs ébouriffés qui lui tombaient sur les omoplates. Elle a toujours été très maigre et petite mais elle était droite et fière, je ne l’ai jamais vu baiser la tête devant quiconque et, bien qu’elle soit une femme, elle sait se défendre, en toute rapidité, Lily esquivait et tapait là où ça fait mal. Ho oui, c’est une femme très forte. D’un point de vu vestimentaire, Elisabeth a toujours adoré les vêtements classes, comme les robes luxueuses, avec une petite préférence pour le noir. Par contre elle n’a jamais été très bijoux, aucune bague ni boucle d’oreille ni collier ne lui allait et ça la gênait plus qu’autre chose d’en mettre. Après je l’ai déjà dit, ça fait des années que je ne l’ai pas vu, elle a sûrement changée, même si je ne peux pas l’imaginer autrement
-Toby Street, ami d’enfance d’Elisabeth
PSYCHOLOGY
Elisabeth Hanson…ça fait longtemps que j’avais pas parlé d’elle. Elle était toujours souriante et d’un calme étonnant. Même quand elle était menacée, elle allait de l’avant même si les méchants allaient l’attaquer mais quand ils le faisait, Lily les faisait mordre la poussière ! Elle était génial ! Pis elle me protégeait tout le temps, Toby aussi elle le protégeait. Et ça l’énervait quand les ennuis nous tombaient dessus, quand c’était que elle qui était concernée, c’était pas grave mais quand c’était nous Lily se mettait en colère. Et elle était super gentille, même quand elle volait c’était pour qu’on ait à manger. Et fallait la voir quand elle rentrait dans une maison ; ses yeux balayaient toute la salle et elle notait dans sa tête l’emplacement de tous les objets ! Pareil quand elle se battait ; elle regardait ce qu’elle allait faire avant d’attaquer, elle était…comme on dit ?...Calculatrice, voilà ! Je parle beaucoup de combat parce que elle se mettait tout le temps dans les galère, même si elle s’en sortait bien au final.
-Jenny Mcain, « petite sœur » d’Elisabeth
BIOGRAPHY
Bon, faisons le bilan : je suis née en septembre 1940 dans un petit village côtier au sud de New York. Je suis pas non plus née sous X mais après 2 ou 3 ans, mes parents, pauvres, m’ont jeté dehors. Bizarrement, je ne leur en ai jamais voulu, après tout, s’ils n’avaient pas fait ça, je n’aurais pas connu cette existence que j’ai toujours aimé…remarque, je ne serais pas non plus tombé à Rapture, mais ça c’est MON choix… un choix certes idiot, mais ça en reste un. Bref, de là, j’ai vécu en voleuse, malgré mon manque d’expérience, quand je prenais un pain, on me le donnait dans la plupart des cas. C’est vrai qu’en voyant une gosse de 3 ou 4 ans maigre comme ça, faut être le plus ignoble des salops pour rien lui donner rien que pour qu’elle survivre un peu plus longtemps. Comme ça j’ai quand même survécu jusqu’à… je dirais 6 ans. C’est là que tout à changé, je ne sais pas pourquoi mais les vieilles femmes ne me donnaient plus à mangé, c’est là que je me forgeai réellement en temps que voleuse. Après deux ou trois vols, je rencontrai Toby Street, un ami très cher à mes yeux : lui il avait des parents, mais ils le maltraitaient et le nourrissaient à peine. Finalement on s’est associé. On faisait vraiment la paire tout les deux ; lui il distrayait les gens, en volant visiblement ou en faisant des petits spectacles ou encore en faisant jouer les gens à des jeux de hasard truqué pendant que moi je faisais les poches aux spectateurs. C’était plutôt amusant et ça rapportait pas mal, le mieux c’est que personne nous soupçonnait de rien, du moins pas moi.
A nos 10 ans, Toby était devenu un bel enfant, pas très grand comparé à moi, il pesait un peu moins que les autres enfants de notre âge, il avait les cheveux châtains et les yeux marrons foncés. Pas grand-chose d’autre pour le décrire, on faisait pas attention à nos vêtements dépourvus de tissu par-ci par-là, c’était des habits très simples, même si de mon côté c’était plutôt dans robes pas très luxueuses mais ça m’allait très bien. A cette époque, on cherchait l’excitation, et on savait comment la trouver : aller dans les maisons des plus riches pour trouver des butins. Et on se débrouillait très bien à ce petit jeu, dès qu’il y avait un bruit, on sortait ou on se cachait, si on nous repérait, on se donnait un lieu de rendez-vous et on s’enfuyait chacun de notre côté. Ils nous attrapaient très rarement, et quand ça arrivait, je savais me battre et Toby c’était un vrai fourbe dans ces moments là. De mon côté, j’esquivais et m’arrangeai pour qu’un poing se loge dans un mur ou un autre homme pour que ça vire en bataille général. Et Toby, lui, pendant que je les occupais, il volait les biens qu’ils avaient sur eux, ça les énervaient au plus haut point. Bien évidemment on aurait dû se faire pincer par la police, mais on avait notre technique : ce qu’on volait aux riches, on le donnait aux pauvre, donc cette partie, plus imposante, nous défendait.
C’est à cette époque je crois que Jenny Mcain se présenta à nous. On l’a trouvé au bord de l’évanouissement sur la seule route de notre village, une très jeune fille, dans les 5 ans, les habits sales, le visage de même. On l’a prit sous notre aile et on l’a soigné avec les moyens dont on disposait pendant qu’elle dormait à moitié. Une fois je la dévisageai, ses cheveux tombant sur ses omoplates étaient châtains, sa maigreur m’avait choqué par rapport à son âge. Aussi elle avait de magnifiques yeux noisette qui me regardaient avec étonnement…. Hein !? Elle s’était réveillée et me fixait. Je lui fis un beau sourire avant de me rendre compte que je la tenais dans mes bras. Je la libérai doucement et m’accroupis près d’elle, toujours souriante. Elle m’étreint soudain, cela m’avait étonnée sur le coup mais je la serrai tout de même dans mes bras. Elle sanglotait.
-Pourquoi tu pleure ?
-Papa et maman m’ont laissé toute seule sur la route !
Je plongeai mes yeux dans les siens.
-Je m’appelle Elisabeth Hanson, je me suis occupé de toi quand tu étais évanouis avec Toby Street, un ami. Ne t’inquiète pas, on va s’occuper de toi et personne ne te feras du mal, d’accord ?
Elle renforça son étreinte et ses sanglots s’évanouirent peu à peu.
-Merci ! Je…je m’appelle Jenny Mcain. Dis-moi, tu veux bien être ma sœur ?
Elle était enjouée et sa proposition m’étonna.
-D’accord Jenny.
-Super ! Et pis, je voudrais te demander… Est-ce que je peux rester avec vous… Je… je n’ai nulle part où aller…
Un grand sourire se dessina sur mes traits.
-Mais bien sûr ! On se fera une joie de nous occuper de toi, mais je te préviens, on est tous les deux dans le même cas que toi au niveau de nos parents, et on vit un peu à la dure. Mais dans un but noble ! On vole certes les riches, mais on donne ça aux pauvres, du coup les trois quart de la ville nous adore. Et je te jure de te protéger des différentes bandes d’idiot qui nous font toujours du mal, même si on a l’avantage sur eux. J’avais dit tout ça d’un ton presque héroïque et Jenny semblait aimer toutes mes paroles.
-OK ! Merci beaucoup de me protéger, j’ai envie de vivre avec vous !
Puis Toby revînt de sa « chasse aux trésors », niveau argent bredouille mais niveau nourriture, il en avait pleins les bras. Lui et la nouvelle firent connaissance et ils avaient l’air de bien s’entendre.
L’année qui suivie avaient encore plus de goût avec Jenny, on s’amusait tout les trois, et notre lien de « sœur » s’était affermit. Mais tout dégringola à mes 12 ans… Le quartier riche avait donné un gros pot de vin au commissariat pour ma capture, au moins c’était pas celle de mes deux amis. Mais du coup je les voyais très peu, fuyant constamment, les flics à mes trousses. Mais un jour, je surpris un bateau étranger, planqué à l’écart du village. Deux hommes parlaient entre eux : de ce que je compris, ils se rendaient avec pleins de cargaisons dans une ville appelée « Rapture », apparemment c’était une cité sous-marine, où chacun gagne ce qui lui revient de droit. Après je vais pas revenir sur le pitch de Ryan, je le connais par cœur. Bref, c’était mon billet pour la liberté. Ainsi, dès le lendemain matin, je passai en coup de vent en annonçant la nouvelle à Toby et à Jenny et je leur donnais rendez-vous à ce bateau.
Je me planquai dans les caisses d’armes et de munitions et attendis mes compatriotes des minutes…puis des heures…mais toujours rien. Je me sentis glisser avec les caisses, je crois qu’on me descendit dans les cales avant que j’entende les pas des porteurs s’éloigner. La caisse dans laquelle j’étais n’était pas clouée, par conséquent, je soulevai légèrement le couvercle avant de le refermer prudemment ; un homme était juste devant, dos à moi. Le petit bateau tanga, grinça et avança. Mes amis… non, ma famille était perdue. Je m’enfuyais comme une lâche en me demandant pourquoi ils n’étaient pas venus, la police était-elle aussi sur leurs traces ? Ou n’avaient-ils pas trouvé le navire ? Ou encore les matelots les avaient empêchés d’entrer ? Je n’en sais toujours rien aujourd’hui. Ce fut une vraie torture dans cet endroit confiné ; la quantité d’armes et de munitions était déjà trop importante, ma figure était collée au couvercle, mon dos était insupportablement douloureux avec les canons des mitrailles et autres qui pressaient contre ma chaire, ma respiration était difficile, je tentai de la dissimulée et quand je manquais d’air je prenais le risque de soulever légèrement le couvercle et la dernière chose, et pas des moindres, les vivres étaient dans une autre caisse. Je ne sais pas où se trouvais Rapture, à part sous l’eau, mais ça pouvait très bien être à l’autre bout du monde, je n’allais pas survivre longtemps sans boire ni manger. J’analysais donc, comme je le fais si bien, mon logement temporaire ; le bois était moisi, facile à creuser, et le seul truc pointu et facile à déplacer sans faire de bruit était les balles. M’offrant le luxe de soupirer légèrement, je me saisi de l’une d’elle et grattai la boite. Elle ne mit pas si longtemps avant de céder en formant un petit trou, m’offrant une vue sur une autre caisse. Priant pour que le bois soit aussi moisi, je m’attelai à la tâche de creuser. Il céda aussi, à mon plus grand soulagement. J’enfonçai ma main dans la fissure et quelque chose me piqua, je ressortis aussitôt mon bras, du sang coulait de ma blessure. J’essayai de regarder à l’intérieur, en vain, l’éclairage laissait à désirer. Finalement, je réussis tant bien que mal à me saisir de la cause de ma blessure ; c’était une énorme seringue vide. Je frémis en voyant la taille de l’aiguille avant de reposer cette chose dans sa caisse. Ainsi je fis le même manège pour un autre côté de la mienne. Bingo, c’était du poisson. Une caisse entière de poissons secrétant un liquide désaltérant, c’était parfait, un miracle presque.
Enfin, après une éternité (je ne sais pas exactement combien de temps car je n’en n’avais pas la notion), j’entendis les marins transporter les caisses, dont la mienne. Quand on me posa à terre, je jetai un œil par un des trous que j’avais créé, personnes sur le bateau, ils devaient être dans les cales. Je soulevai le couvercle et vis une entrée. Je m’empressa de soulever entièrement le toit de la caisse avant de la poser sur la pierre mouillée par le va et vient de l’eau, puis partis en courant dans ce que j’appris plus tard être le Trésor de Neptune. Je courais trop vite pour penser à ce moment là, puis je débouchai dans une salle avec au fond une grosse boule de métal. Je m’engouffrai à l’intérieur, tirai le levier en me demandant ce que je faisais. La porte vitrée se referma et l’engin plongea. Une radio était délaissée là, je surpris une conversation de deux types qui s’amusaient à dire tour à tour une phrase du film de Ryan qui explique ce qu’est Rapture, moi je compris que c’était la ville parfaite pour démarrer une nouvelle vie. Quand je quittai la radio des yeux pour les déposer sur l’extérieur, Rapture se dévoila à mes yeux. C’était… magnifique, un régale pour les yeux. Les immenses bâtiments aquatiques se dressaient fièrement dans le fond de l’océan, défiant la physique même. La machine s’arrêta dans un genre de hall, tout était illuminé, le plafond était incroyablement haut et il y avait des affiches publicitaires un peu, j’aurais cru rêver si je ne m’étais pas éclaté le nez contre un des piliers en regardant la hauteur de la salle, la douleur était bien là.
Après avoir découvert toute la ville aux côtés d’Andrew Ryan même, très surpris quand il m’avait vu, après tout j’étais peut être celle qui allait foutre en l’air l’esprit de sa ville mais après avoir débattu, il m’a accepté auprès des siens, j’ai contribué au développement de la ville en temps qu’assistante du docteur Alexandre, c’était pas super bien payé mais bon, je vivais avec ça. Pour sois disant éviter que j’ai des ennuis, je travaillais avec lui discrètement, sans poser de question, mais c’était plus parce qu’il avait peur que quelqu’un découvre quel genre d’expérience on faisait. Bien entendu, j’étais au courant de toutes ses expériences, sans qu’il le sache bien entendu, et il m’entraina dans le projet « Grande Sœur ».
Toutes ces histoires de liens qu’avaient ces filles avec les Petites Sœurs me rappelèrent celui que j’avais avec Jenny. Un jour je me retrouvais seule dans le labo, tout me faisait penser à Jenny ; un bibelot qui ressemblait à un des nombreux que j’avais volé avec elle, une seringue d’Eve comme celle que j’ai vu après m’être enfuie en abandonnant ma petite sœur et mon meilleur ami. C’était trop, je ne pouvais pas me refaire une nouvelle vie. J’en avais marre, désespérée, n’ayant plus goût à rien, je demandai à Alexandre, à son plus grand bonheur, d’être une Grande Sœur. Il me dit que ce sera difficile, étant donné qu’il faut passer par le stade Petite Sœur mais il a conclu en disant que ce qui était important, c’était d’avoir une limace d’Adam en soi. Même si je savais que c’était complètement faux, cela m’était égal ; qu’importe que je meurs, ma vie était pire que la mort et quitte à vivre, autant que ce soit liée à une petite, comme ma chère Jenny. Il me plongea donc dans le coma.
Quand je me réveillai, tout autour de moi avait changé, vieilli, un moment était passé. Je regardai mon bras gauche et écarquillai grandement les yeux : autour d’une main enfermée dans une combinaison de Grande Sœur flottait un genre de brouillard noir. Je cherchais dans la salle la cause de ce changement, je le trouvai : Alexandre n’avait pas rangé les flacons d’Adam, il y en avait trois, « liaison » qui m’empêchais de faire du mal à une Petite sœur et qui m’obligeai à me liée avec une petite sans protecteur, sportiv S qui donnait l’agilité nécessaire aux Grande Sœur et enfin un plasmide, « envolée de corbeaux », c’était un plasmide unique qui a été remplacé par « nuée d’insecte » mais c’est tout ce que je ne savais de lui. Sur une petite table à côté de celle où j’étais trônait un scaphandre et une seringue. Je pris cette dernière, mis mon bras dans le cercle de fer prévu à cet effet et m’arrêtai un peu avant le coude. La machine n’était pas attachée, j’étudiai donc le mécanisme ; des vérins bougeaient quand je tournais une petite valve. Je fis donc tourner mon poignet frénétiquement jusqu’à que la partie en fer inférieur serre mon bras. L’aiguille était rétractée. Encore une fois je regardai partout avant de trouver un petit anneau sur ma paume auquel était attachée une ficelle. En faisant coulisser l’anneau sur des genres de petites rails je rencontrai une résistance, je relâchai l’objet et l’aiguille sortie violemment tandis que l’anneau s’était glissé jusqu’à la base de mon pouce. En le ramenant à ma paume l’arme se rétracta. En plus de cette partie de l’objet, il y avait une épaisse plaque en fer sur lequel reposaient une valve et deux compteurs. Ces derniers m’indiquaient mon pouls et ma tension actuelle. Ils étaient normal contenu la quantité d’Adam que j’avais dans le sang. Enfin je lâchai la machine du regard pour enfiler le scaphandre qui m’allait parfaitement ainsi que la bombonne d’oxygène, dont je fis tourner la vanne pour pouvoir respirer, et la cage pour transporter les Petites Sœurs. Finalement je la jugeai trop lourde pour ce qu’elle était utile, je la reposai donc à terre. Puis je regardai la porte, elle entravait le chemin, sortit de ses gonds, elle s’était enfoncée dans le sol, j’étais trop faible pour la défoncer. Je me rassis sur la table d’opération, regardai à ma gauche, la vitre m’offrait une magnifique vue sur les profondeurs de l’océan Atlantique. Je vis un goutte couler le long de cette vitre, je remontai les yeux : une jointure était en phase de céder. Elle était correctement bien placée pour se faire déverser toute l’eau derrière si on mettait quelques coups dessus. Ces coups se transformèrent dans ma tête en lancers d’une grosse cage à Petite Sœur. Je m’empressai de les exécuter et, après quelques essais, la jointure céda. Des fissures se répandirent du point d’impact jusqu’aux bords de la vitre, qui se brisa. M’emportant, l’eau se déversa dans la salle et la pression fit sortir la porte du sol. Je nageai jusqu’à l’extérieur, sortis du labo et pénétrai enfin dans Perséphone.
Et me voila, faisant les cent pas en songeant à tous ça. Que vais-je faire à présent ? La réponse est claire : trouver quelqu’un à protéger. Est-ce l’effet du « contrôle mental » ou mon bonheur de me lier avec quelqu’un qui me fait dire ça ? Qu’importe. Mais une idée me viens en pensant à mon voyage jusqu’à Rapture : serait-ce possible que je n’aie pas aperçu Toby et Jenny sur le bateau en venant ? Peut-être sont-ils en fait à Rapture ! Une joie m’emplie soudain, je dois en avoir le cœur net !
Dernière édition par Daniel Turner le Dim 14 Aoû - 16:13, édité 3 fois | |
|  | | cronos
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Mar 19 Juil - 14:26 | |
| Bienvenue a Rapture 1961 Daniel ,
Tu es resté 5 ans dans le coma , je vais te dire ce qu'il c'est passé.
Andrew Ryan ce fit quelque ennemis dont un certain Frank Fontaine , contrebandier.
Un jour dans les pêcheries Fontaine ,repaire des contrebandiers , cette personne , Mr.Fontaine , ce fit tué par des hommes d'Andrew Ryan.
Croyant en avoir fini avec ses problémes de contrebande , il ce fit vite un nouvel ennemi nommé Atlas.
Personne ne sait d'où est ce qu'il vient , mais cela ne la pas empeché d'organisé une attaque lors du nouvel an 1959.
A partir de ce moment , tout Rapture a sombré , les honnétes citoyens de Rapture sont devenus des êtres deformés parla soif d'ADAM.
Mais j'en est assez dis , je te laisse decouvrir comment les joyeuse rues de Rapture sont à present des coupes-gorges redoutables. | |
| | | | Heartless 02
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Mer 20 Juil - 0:47 | |
| Re-bienvenue sur Rapture, Dani-rvine !
Cronos, t'es pas obligé de mettre du Rp partout, là c'est du hors Rp ^^... Et donner des infos en Rp n'est pas forcément la meilleur chose à faire, puisqu'il s'agit souvent d'une étape par laquelle le personnage passe lors de son voyage à Rapture, surtout s'il est amnésique.
Irvine, le Plasmide corbeau SCROGNEUGNEU !!! ... Pourquoi pascrogneugneu ...
Je rappelle que la surface n'est pas censée savoir que Rapture existe, hein >.> ... Il va vraiment falloir que je fasse cette fiche explicative de l'histoire de la ville...
Et puis les bateaux (apparemment de contrebande) qui déchargent par l'entrée principale ... Moyennement crédible, ça...
J'ai un gros regret sur ton histoire, les interventions de tes amis manquent de sentiments, je trouve, et ce serais bien d'avoir l'explication sur "pourquoi ils n'étaient pas au rendez-vous du bateau". Sauf si tu as prévu de la faire découvrir en Rp...
Sur ce je valide dés que j'ai du temps. | |
| | | | Elisabeth Hanson
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Mer 20 Juil - 8:45 | |
| Pour les amis, désoler si je n'ai pas détaillé leur sentiments mais sinon je pense que ç'aurait été beaucoup trop long, et oui c'est prévu que j'en reparle en RP. Pour mon arrivée à Rapture, c'est éffectivement des contrebandiers qui vont à la surface, puis reviennent à Rapture histoire de s'en foutre pleins les poches, je pense que c'est presque crédible, après tout où ils vont chercher leurs armes ect, pour moi c'est à la surface. | |
| | | | cronos
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Mer 20 Juil - 13:18 | |
| Je sais , je ne suis pas obligé ... MAIS JE LE FAIT QUAND MEME MOUHHHHAAAA!!!
Mais bon pour ton histoire , je la trouve plutot credible , car peut étre que le plan des contrebandiers pour s'en mettre plein les poches ,ba peut étre que sa retombe dans les poche de Fontaines , si vous voyez ce que je veux dire. | |
| | | | Heartless 02
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Mer 20 Juil - 15:35 | |
| Mouarf, vous m'suivez pas, là...
Les contrebandiers qui déchargent leur cargaison par L'ENTRÉE PRINCIPALE (à savoir le phare, puisque tu prend la bathysphère du phare...) je trouve ça moyennement intelligent de leur part, surtout si en bas il y a Ryan et Sullivan pour les accueillir >.>... Or Fontaine est intelligent, il doit donc posséder des bathysphères personnelles faisant la liaison avec la surface, et qu'il utilise pour la contrebande...
Imaginez que les voleurs entrent chez vous avec leurs sacs et leurs masques par la porte d'entrée alors que vous la surveillez justement ... Ça le fait moyennement. De plus, souvenez-vous des pêcheries Fontaines : les pêcheurs-contrebandiers partent en mer avec des sous-marins, du coup ça m'étonnerais qu'ils se cassent le c*l à aller chercher une bathysphère alors qu'ils peuvent cacher la marchandise de contrebande dans les caisses de poissons. Après, bonjour l'odeur des munitions, mais bon... Sinon, bien sûr que les contrebandiers vont à la surface, ça je n'en doute pas une seule seconde.
Hum, c'est pas peut-être, chronos, c'est certain ^^'. Il va VRAIMENT falloir que je fasse cette fiche explicative !!!
Pour les amis, j'ai hâte d'avoir l'explication ^^. Et un texte n'est jamais "trop long". Il est juste "moins petit". | |
| | | | Elisabeth Hanson
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Dim 14 Aoû - 16:16 | |
| Voici enfin mon personnage final, désoler si je vous fais tourner en bourique mais j'ai donc changé quelques trucs mais les changements les plus importants apparaissent à partir de son entrée à Rapture (fini les problème de contrebandiers ect.) Je pense que vous avez un avant goût avec mon avatar  Sur ce bonne lecture ! | |
| | | | Heartless 02
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Dim 14 Aoû - 19:31 | |
| Hum. Personnage troisième version... Analyse de l'admin le plus exécrable de Rapture, j'ai nommé : Moi! OwO Ouais, avec un M majuscule. Le narcissisme, c'est un mode de vie  ... (Rillettes Bordeaux-Chesnel...) Aloooors...  Tu passe au féminin le tout, d'acc, d'acc... Tu te doute donc que mon premier réflexe aura été de scruter minutieusement tous les verbes accordés au féminin, qui doivent prendre "ée" à la fin... Bah c'est pas mal réussi, dans l'ensemble. Quelques fautes, rien d'alarmant, juste le temps que tu t'immisce parfaitement dans la peau d'une demoiselle. Ensuite, j'ai un gros regret : j'aurais voulu voir une femme en jupe triple épaisseur, froufrous et volants se balader dans Rapture et sauter sur ses ennemis, comme le laissait présager l'avatar top-mega-classe... M'enfin bon, j'espère juste que les futurs nouveaux arrivants (? ...) ne vont pas tous choisir la grande sœur comme type de perso... Sinon il va falloir que je mette des règles à son utilisation... Sinon je crois que c'est bon... Je relirais, pour voir... Au cas où, je t'enverrais un mp. Bon, bah rererewelcome... Lilyrvine. En attendant une quatrième version ?  ( /zbaff!/ ) | |
| | | | Elisabeth Hanson
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) Dim 14 Aoû - 19:36 | |
| J'adoooooore Lilyrvine !! Je te hais, toi et ta fine plume, tu m'a fait flippé à un point ! Pour ce qui est des verbes au féminin j'ai cru que je devrais faire des centaines de corrections d'accords mais en fait j'ai pas autant de verbes en "ée" que ça Et merci pour la bienvenue :p (en espérant que ton sadisme ne s'applique pas aux femmes) | |
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| | Sujet: Re: Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) | |
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| | | | | | Elisabeth Hanson, abandonnée qui abandonne (DC d'Irvine) | |
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